« Nous ne voulons pas nous substituer aux dirigeants des banques », assure le superviseur européen

Andrea Enria, le patron de la supervision des banques de la zone euro, tire sa révérence à la fin de l’année. Dans un entretien à quatre quotidiens européens dont « Les Echos » il revient sur cinq années d’action, mais pointe aussi les enjeux à venir, entre crise de l’immobilier, euro numérique et montée en puissance de la finance non bancaire.