Inquiète de la mauvaise passe de l’économie nippone, l’institution gouvernée par Kazuo Ueda maintient le statu quo. Elle semble toutefois décidée à replier, à partir du printemps prochain, plusieurs des outils qui lui ont permis, pendant des années, de maintenir ses taux proches de zéro et même parfois à des niveaux négatifs.
La Banque du Japon attend encore avant d’oser la fin des taux zéro
