La déclaration de François Bayrou a ravivé le mauvais souvenir de la dissolution et du choc fiscal de 2024 auprès des banques américaines. Certaines s’interrogent sur leur dispositif, alors qu’elles ont versé plus de 1,4 milliard d’impôts sur les sociétés d’après nos calculs.
« Ça peut commencer à faire peur » : les banques américaines sur le qui-vive après l’annonce du vote de confiance
