Le regain de tension sur les marchés après l’attaque d’Israël sur l’Iran constitue un test pour le statut de valeur refuge du dollar. Et pour l’instant, il n’est pas vraiment encourageant.
Les marchés mondiaux ont fortement réagi ce vendredi à l’annonce de frappes israéliennes sur des sites stratégiques en Iran. L’or a grimpé, les Bourses ont reculé et le prix du pétrole s’est envolé.
Avec l’acquisition de la banque portugaise Novo Banco, le groupe mutualiste, qui coiffe les réseaux Banque Populaire et Caisse d’Epargne, signe un méga deal inédit en Europe depuis plus de dix ans.
Le baril de Brent s’est envolé de plus de 6 % vendredi. Les installations pétrolières iraniennes n’ont pas été touchées par les frappes israéliennes, mais un embrasement pourrait impacter la production et les flux mondiaux.
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Pendant que d’autres tentent – parfois en vain – de racheter de très grandes banques, à l’image de l’italien UniCredit en Allemagne avec Commerzbank, les banques françaises poussent leurs pions à l’international de manière plus discrète et plus pragmatique.
La Commission européenne a adopté des règles techniques pour centraliser les données financières. Objectif : offrir aux investisseurs une vue unifiée des prix et volumes des instruments financiers en Europe. Ce projet s’inscrit dans le cadre de la loi MiFIR et vise à renforcer la transparence des marchés de capitaux.
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Un rapport du Haut-commissariat à la Stratégie et au Plan alerte sur la difficulté croissante du système assurantiel à couvrir les dommages climatiques. Trois scénarios de réforme sont proposés, allant d’une régulation accrue par l’Etat à la création d’une « Sécurité sociale climatique ».
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